Actualites economique franco-roumaine

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Lockheed Martin: Coopération énergétique avec la Roumanie: Lockheed Martin annonce un accord de coopération avec la Roumanie autour de la batterie GridStar Flow qui pourrait aider le pays à atteindre ses objectifs de zéro émission nette.

„GridStar Flow de Lockheed Martin s’aligne sur nos buts et objectifs visant à améliorer la sécurité énergétique de la Roumanie”, a  déclaré  Sebastian Burduja, ministre de l’Énergie de la Roumanie.

„Nous sommes impatients d’explorer comment cette solution de batterie à flux peut s’intégrer à nos objectifs de zéro émission nette”, a-t-il ajouté GridStar Flow est une batterie à flux redox innovante conçue pour faire progresser l’abordabilité et la durabilité de l’énergie propre.

Selon Lockheed Martin, GridStar Flow serait actuellement „la seule offre de batteries à flux au monde capable de contrer les perturbations anticipées et imprévues du réseau”.

Source : tradingsat.com

Partenariat stratégique entre Vodafone Roumanie et Ericsson pour le déploiement de la 5G : Vodafone Roumanie attribue à Ericsson le titre de partenaire du réseau d’accès radio 5G (RAN 5G).

Dans le cadre de cet accord de six ans, Vodafone Roumanie utilisera également la technologie  RAN  d’Ericsson pour moderniser davantage son réseau mobile existant.

Les clients de Vodafone Roumanie bénéficieront de vitesses de connectivité plus rapides, d’une faible latence et de performances réseau plus fiables et sécurisées.

Le déploiement de la 5G accélérera la transition numérique et écologique de la Roumanie. Ce nouveau partenariat redéfinit les normes de connectivité en Roumanie et s’inscrit dans le cadre de la stratégie d’investissement de Vodafone dans le pays visant à soutenir le potentiel des Roumains, des entrepreneurs et des communautés.

Source : telesatellite.com

La Roumanie compte près de 250 000 informaticiens : Nous sommes à la 2ème place en Europe pour cet indicateur, 4 salariés sur 10 sont des femmes: Selon une étude menée par une plateforme de recrute- ment en ligne, la Roumanie comptait  l’an dernier quelque 250000  personnes  travaillant dans le domaine de l’informatique. Le pays se classe ainsi au deuxième rang européen en termes de nombre de spécialistes employés dans le domaine des technologies de l’information, d’après l’étude. Il arrive aussi au cinquième rang des pays de l’UE en termes de pourcentage de femmes ayant suivi des études spécialisées et travaillant dans ce domaine (29,9 %).

Citant les données d’Eurostat, les médias précisent que 82% des employés du secteur ont moins de 34 ans.

Source : News.ro, Gândul, Wall-Street.ro

INS: La production roumaine de viande de volaille a augmenté en janvier: La production roumaine de viande de volaille a augmenté en janvier 2024 de 5,2% par rapport à la même période de l’année dernière, et de près de 16% par rapport à décembre 2023, pour atteindre 48 002 tonnes.

Selon les données de l’Institut National de la Statistique, 28,383 millions de volailles ont été abattues en janvier 2024, soit une augmentation par rapport à janvier 2023 (26,880 millions de têtes) et par rapport à décembre 2023 (24,963 millions de têtes).

Quant à la production de viande bovine, elle a totalisé 7.402 tonnes en janvier de cette année, en légère baisse de 0,9% par rapport à janvier 2023, où avait été enregistrée une production de 7.470 tonnes de carcasse. Par rapport à décembre 2023, où 7 447 tonnes de carcasses ont été enre- gistrées, la baisse est de 0,6%.

Au cours de la période analysée, le nombre de bovins abattus a atteint  45.000  têtes,  contre 46.000 têtes, tant en janvier 2023 qu’en décembre 2023. Selon les données de l’INS, la production porcine a égale- ment diminué de près de 10%, passant de 22.650 tonnes de carcasses en janvier 2023 à 20.439 tonnes au cours du premier mois de cette année. En décembre 2023, une pro- duction de 61.949 tonnes de carcasse de porc a été enregistrée, compte tenu de l’augmentation de la consommation pendant les vacances d’hiver.

En janvier 2024, 229.000 porcs ont été abattus, en baisse par rapport à la même période de l’année dernière (254.000 têtes) mais aussi par rapport au mois précédent – décembre 2023 – 687.000 têtes.

La production de viande ovine et caprine a augmenté de 15,4%, passant de 1.655 tonnes en janvier 2023, à 1.911 tonnes de carcasse en janvier 2024, mais par rapport à décembre 2023, une baisse de près de 59% a été enregistrée (4.654 tonnes).

En janvier 2024, 127 000 moutons et chèvres ont été abattus, contre 112 000 au même mois de l’année dernière. En décembre de l’année dernière, le nombre d’ovins et de caprins abattus s’élevait à 317 000 têtes.

Source : Adevarul

Les entreprises internationales du système énergétique sont intéressées à investir en Roumanie: La Roumanie consolide sa position géostratégique pour toute la région et un certain nombre d’entreprises mondiales du secteur énergétique sont intéressées à investir dans notre pays, a déclaré le ministre de l’Energie, Sebastian Burduja. “Nous avons eu des discussions bilatérales avec nos homo- logues d’Azerbaïdjan, de République de Moldavie, de Serbie et de Slovaquie, mais aussi avec un certain nombre d’entreprises mondiales du secteur de l’énergie : Socar, Taqa, Masdar. L’occasion était la réunion ministérielle du Corridor Sud, le mégaprojet de plus de 40 milliards d’euros, qui amène le gaz azéri, via la Turquie, vers l’Europe, réduisant ainsi la dépendance du continent européen vis-à-vis du gaz russe. Parallèlement, s’est déroulée la réunion des initiateurs du Corridor Vert – le câble à courant continu qui reliera l’Azerbaïdjan à la Géorgie, sous la mer Noire, en passant par la Roumanie et aux voisins hongrois. Nos objectifs étaient ici d’assurer le rôle de la Roumanie en tant que leader régional dans le secteur énergétique, de diversifier les routes vers la Roumanie et de réussir, avec l’achèvement de ces grands projets, à assurer l’accès des Roumains au gaz et à l’électricité au prix le plus bas possible. De plus, en devenant un pôle énergétique, la Roumanie renforce sa position géostratégique pour l’ensemble de la région. Nous pouvons exporter encore plus d’énergie, ce qui signifie des emplois et un développement pour les Roumains”, a déclaré Burduja.

Selon un communiqué de presse du ministère de l’Énergie, l’une des nouvelles importantes concerne l’achèvement de l’étude de faisabilité du premier terminal GNL sur la mer Noire, sur la côte roumaine, “avec des résultats positifs”. “Ce projet, dans lequel Socar et Romgaz sont partenaires, sera une alternative au Corridor Sud, avec le potentiel d’apporter chaque année 8 à 9 milliards de mètres cubes de gaz à la Roumanie. Dans une étape ultérieure, il faudra identifier la structure de financement et la conception détaillée. La Roumanie soutient cette initiative. Nous pouvons avoir un terminal GNL flottant comme les Grecs l’ont fait à Alexandropoulis”, note la source citée.

Les sociétés émiraties Taqa et Masdar sont également in- téressées à investir en Roumanie.

“Leur portefeuille de projets s’élève à des milliards de dollars. La Roumanie offre de multiples possibilités: de l’interconnexion en courant continu Est-Ouest, qui reliera les futures unités 3 et 4 de Cernavodă et les centrales éoliennes de la mer Noire au système énergétique européen, aux panneaux photovoltaïques flottants sur les réservoirs d’Hidroelectrica et au projet Tarniţa – Lapustesh. Il reste à le concrétiser par des investissements concrets”, précise la source citée.

Parallèlement, le programme nucléaire civil roumain est suivi par tous les partenaires, notamment les petits réacteurs modulaires (SMR).

“Après 2029, l’horizon de réalisation du projet Doicesti, une première européenne, offrira à NuclearElectrica la possibilité de capitaliser sur cette technologie dans toute la région, avec des spécialistes formés à la Politehnica Bucarest, où nous disposons déjà d’un simulateur pour SMR. L’excellence roumaine à un niveau élevé”, indique le communiqué.

Source: Adevarul

Fitch confirme la notation de la Roumanie à “BBB-” avec une perspective stable: L’agence d’évaluation financière Fitch Ratings a confirmé la notation de la dette à long terme en devises de la Roumanie à “BBB-” avec une perspective stable.

“La note ‘BBB-‘ attribuée à la Roumanie est soutenue par son statut de pays membre de l’UE et les flux de capitaux associés qui soutiennent la convergence des revenus, les finances extérieures et la stabilité macroéconomique. Le PIB par habitant et les indicateurs de développement humain sont supérieurs à ceux des autres pays de la catégorie «BBB». Mais ceux-ci sont contrebalancés par des déficits budgétaires et courants supérieurs à ceux des autres pays de la même catégorie, un bilan modeste en matière de consolidation budgétaire, des rigidités budgétaires ac- crues et une position débitrice extérieure élevée», explique Fitch Ratings.

Les analystes de Fitch estiment que le déficit budgétaire de la Roumanie en 2023 est resté pra- tiquement inchangé par rapport à 2022, à 6,1% du PIB, bien au-dessus de l’objectif initial du gouvernement de 4,4% du PIB. “Nous avons révisé à la hausse notre trajectoire de déficit à moyen terme, compte tenu de la position de départ moins favorable et des hausses importantes des retraites en janvier et septembre 2024”, préviennent les analystes.

Fitch prévoit que la Roumanie enregistrera un déficit public de 6% du PIB en 2024 et de 6,4% en 2025.

Fitch s’attend également à ce que l’économie roumaine enregistre une croissance de 3% en 2024 et 2025, après un ralentissement à 2% en 2023. «Les afflux importants de fonds européens, notamment les fonds de cohésion et le nouveau cadre financier pluriannuel (2021-2027) ainsi que les fonds pour la reprise et la résilience, resteront les moteurs importants de la croissance et des investissements à moyen terme. Dans le même temps, les fonds de l’UE amélioreraient le potentiel de croissance de l’économie, accélérant ainsi le processus de reprise jusqu’au niveau de l’UE”, affirment les analystes de Fitch.

Source : Agerpres, Adevarul

Lancement de l’Étude économique de l’OCDE sur la Roumanie 2024 au Palais Victoria: L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a présenté sa nouvelle Étude économique consacrée à la Roumanie, lors d’un événement organisé par le Premier ministre Marcel Ciolacu, en présence du secrétaire général de l’OCDE, Mathias Cormann. Ce rapport examine les résultats économiques enregistrés par la Roumanie et évalue les options politiques pour renforcer la reprise et soutenir la croissance des revenus.

Selon le gouvernement, roumain, l’édition actuelle de cette étude économique comprend une analyse macroéconomique des politiques structurelles, ainsi qu’un chapitre spécial consacré à un thème pertinent, à savoir la décarbonisation de l’économie.

«L’obtention du statut de membre de l’OCDE reste l’objectif stratégique le plus important de la Roumanie, après l’adhésion à l’Otan et à l’Union européenne, assumé par l’ensemble de la classe politique. Le gouvernement de la Roumanie est pleinement engagé à réaliser des progrès, tant dans le domaine des réformes, de la modernisation et du développement, que par un dialogue soutenu avec l’organisation et avec les États membres», a déclaré le Premier ministre Marcel Ciolacu.

Source : Agerpres, Realitatea TV, Rador, Digi 24

La croissance économique de la Roumanie devrait s’accélérer pour atteindre 2,9% en 2024 et l’inflation diminuera : L’année 2024 marquera une évolution positive de l’économie roumaine dans son ensemble, la croissance s’accélérera jusqu’à 2,9% ou même 3,4% – 3,5%, tandis que l’inflation continuera à diminuer jusqu’à un niveau de 4,7%- 5,8%, a déclaré Alexandru Reff, l’associé – Directeur pays de Deloitte Roumanie et de la République de Moldavie, lors d’une conférence spécialisée.

“Je pense qu’il y a des raisons d’être optimiste en 2024. De manière générale, en Europe, les salaires réels augmentent désormais, après une période de baisse, les ménages disposent encore d’une certaine épargne de la période pandémique, ce qui devrait stimuler la consommation. L’inflation continue de baisser. “On s’attend à ce que la Banque centrale européenne réduise les taux d’intérêt, ce qui stimulera de manière très significative le crédit et les investissements. NextGenEU et d’autres programmes ap- portent des sommes très importantes dans l’économie, ce qui est déjà de plus en plus évident en Roumanie égale- ment. Ce que je pense ce que l’on peut anticiper aujourd’hui, avec tous les risques d’être surpris par des évolutions de plus en plus imprévisibles, c’est que 2024 marquera une évolution positive de l’économie roumaine dans son ensemble, avec une croissance qui s’accélère vers 2,9 ou même 3,4 – 3,5. Nous sommes habitués à ce que le gouvernement soit toujours le plus optimiste. L’inflation continuerait à baisser et nous nous attendons tous à un niveau de 4,7 à 5,8, encore une fois la plus optimiste est la Banque Natio- nale”, a souligné le consultant de Deloitte. Selon lui, pour la Roumanie, les cinq dernières années “ont été marquées par des incertitudes sans précédent”, et l’année 2023 a été “une année de ralentissement de la croissance et sur le point d’éviter une récession pour l’Europe dans son ensemble”.

“Selon le consultant, en 2024, mais aussi en 2025, les préoccupations électorales ne permettront pas des changements paradigmatiques en matière de fiscalité.

“Nous avons une stabilité politique, nous pouvons nous attendre à ce qu’elle perdure même après les élections. Nous avons également un moratoire d’au moins un an, promis par le gouvernement concernant la modification supplémentaire de la fiscalité. Et je dis au moins un an, parce que je pense que les préoccupations éminemment électorales de 2024 ne permettront pas, du moins d’un point de vue technique, des changements paradigma- tiques en matière de fiscalité même en 2025. Les fonds européens commencent à être mobilisés et ont un impact substantiel sur l’économie. On le voit dans les infrastructures, dans la construction, mais pas seulement, et les investissements publics restent à un niveau élevé. La question est de savoir si cette perspective, plutôt encourageante, est également partagée par les directeurs financiers des grandes entreprises”, a déclaré Alexandru Reff.

Source : Adevarul

Marché aux fleurs, ventes record en 2024: affaire de 40 millions d’euros à l’occasion du “Mărțișor” et de la Journée de la femme: Un calcul estimé, effectué par la société de conseil Frames, montre que les 1er et 8 mars (fêtes des femmes en Roumanie), plus de 2,5 millions de bouquets de fleurs seront vendus. “Un simple calcul montre que le commerce des fleurs approche les 40 millions d’euros, soit près de 10 millions de plus que les estimations de 2023”, montre l’analyse de Frames.

Selon les analystes, la dynamique spectaculaire des ventes est principalement due à l’augmentation significative du prix des fleurs, ce qui a considérablement augmenté le chiffre d’affaires des plus de 7.700 entreprises opérant dans ce secteur.

Le commerce des fleurs a de bonnes chances d’atteindre cette année un véritable record historique, de plus de 2,7 milliards de lei (540 millions d’euros), après qu’en 2023, des données préliminaires in- diquent que le seuil de 2,5 milliards (500 millions d’euros) sera dépassé.

La dernière année pour laquelle le ministère des Finances présente les données financières définitives, 2022, a porté le commerce des fleurs dans notre pays à 2,2 milliards de lei (440 millions d’euros). A titre de comparaison, il y a 10 ans, en 2014, le marché aux fleurs rapportait un chiffre d’affaires de 491,3 millions de lei (98,85 millions d’euros).

«Le marché des fleurs s’est développé de manière spectaculaire ces dernières années, comme en témoigne le fait que le nombre d’entreprises a doublé au cours des dix der- nières années, tout comme le nombre d’employés. Le développement significatif des affaires s’est produit à la fois dans le contexte de l’intérêt accru des investisseurs pour ce secteur et surtout en raison de la réduction significative du marché noir et de l’évasion fiscale dans ce secteur”, a déclaré Adrian Negrescu, directeur de Frames.

,,C’est un marché encore fragmenté où il existe peu de chaînes de fleuristes. C’est une activité qui a le potentiel d’attirer de grands investisseurs. Il s’agit d’un marché en croissance, où les fusions et acquisitions seront très probablement au premier plan dans les années à venir”, indique l’analyse de Frames.

La plupart des fleurs vendues sur le marché roumain proviennent d’importations, soit environ 80 %, le reste étant couvert par la production locale.

Source : Adevarul

La Roumanie, le taux de vente en ligne le plus bas de l’UE: Seuls 12,9% des ventes réalisées en 2022 par les entreprises roumaines l’ont été par Internet, plaçant la Roumanie au dernier rang des pays européens en la matière, selon les données d’Eurostat. Selon l’agence européenne de statistiques, 22,9% de toutes les ventes réalisées en 2022 par des en- treprises européennes ont été effectuées en ligne. La Lituanie détient la part la plus élevée, avec plus de 38%, suivie par le Danemark, où les entreprises ont réalisé près de 37 % de leurs ventes en ligne.

Source : Rador, Adevarul, TVR

Entretien du président Klaus Iohannis avec la présidente de la Banque européenne d’investissement: Le président Klaus Iohannis a reçu, au Palais de Cotroceni, une déléga- tion du groupe de la BEI conduite par sa présidente, Nadia Calviño.

A cette occasion, les sujets liés à la sécurité et l’industrie de défense dans le contexte de la guerre en Ukraine, ainsi qu’à la transition verte, la numérisation, l’innovation ont été abordés.

Au cours des discussions, les activités de la BEI en Roumanie ont été mises en exergue; elles concernent le financement de programmes opérationnels, le financement du secteur privé dans des domaines importants pour le développement économique et social de la Roumanie, tels que les transports, l’énergie, la santé, l’aménagement urbain et l’éducation. En ce qui concerne les questions de sécurité et de défense, Klaus Iohannis s’est félicité du lancement par la BEI du programme de l’Initiative stratégique européenne de sécurité (SESI), qui finance des projets d’infrastructure de sécurité civile et de technologie avancée.

La nécessité d’investir dans les nouvelles technologies, en tenant compte des défis des technologies futures a également été soulignée. Dans le domaine de la transition verte, la Roumanie souhaite poursuivre et développer la coopération avec la BEI, a déclaré Klaus Iohannis qui a souligné que le Pacte vert européen doit apporter la prospérité pour tous et impliquer de manière constructive les citoyens et la communauté des affaires.

De son côté, Nadia Calvino, a confirmé l’importance de la Roumanie en tant qu’État membre du groupe BEI et a souligné le potentiel de développement et de diversification des services financiers offerts. En 2023, la Roumanie a fait partie des pays qui ont bénéficié de manière significative des financements de la BEI avec des engagements financiers atteignant le montant record de 4,1 milliards d’euros (environ 1,3%du PIB). Enfin la présidente de la BEI a également rencontré le premier ministre Marcel Ciolacu et le ministre des Finances, Marcel-Ioan Boloș, pour discuter de la manière dont le Groupe BEI peut continuer à soutenir le pays au travers d’investissements stratégiques. Ciolacu et Boloș ont exprimé leur accord quant à l’intensification de la coopération entre le Groupe BEI et le gouvernement roumain, en particulier dans des domaines prioritaires tels que les infrastructures, l’agriculture, la création d’emplois et le développement des compétences, la santé, la transi- tion verte, l’énergie.

Source : Adevarul, Mediafax, Agerpres, G4Media, News.ro

Coopération bilatérale dans le domaine du nucléaire: En marge de la réunion du Conseil des ministres européens chargés de l’Energie, le ministre de l’Énergie, Sebastian Burduja, s’est entretenu avec le ministre français des Finances et de l’Économie, Bruno Le Maire, pour discuter de la coopération bilatérale dans le domaine du nucléaire.

A cette occasion, Sebastian Burduja a exprimé sa confiance dans l’engagement de la France à soutenir les investissements dans le développement du potentiel nucléaire roumain qui permettraient d’assurer la sécurité énergétique nationale et de protéger la Roumanie du chantage énergétique à long terme de la Russie.

Source : Adevarul, Calea Europeana

Newsletter-Eastrategies-Mars-2024-Roumanie

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